L'aventure se termina entre autre par une très belle histoire vraie sur la
3ème étape,
Préface: je tente cette
fois un texte au triple sens (donc du 3ème type) pour y relater des événements pourtant tous réels. La
lecture que vous en ferez dépendra aussi de votre âme.
Voici les premiers indices:
Ici
on parle d'un choc de
civilisation provoqué par le déraillement d'un tramway électrique de
l'ingénieur Raffard en 1881 et dont les conséquences dans l'espace
spatio-temporel se sont percutées sur la Toujours Contente en ce 3 juin 2007
à 15H41 précise, il s'en est fallu d'un palm35 d'écart, d'un bain repoussé et de quelques
minutes de retard ou d'avance pour que ce choc culturel n'eût jamais lieu.
En effet, en cette journée du 3 juin, il s'est produit une série
d'événements extraordinaires aux conséquences absolument incalculables
provoqués par l'ébruitement de cette affaire d'un tram qui déraillait
volontairement sur l'action d'un volant. L'enchaînement de tous les faits
depuis le 30 mai n'avait qu'un seul objectif faire que la Toujours Contente
arrive au sommet du Puymorens à 15H41 précise et sache qu'elle le quittera
via Perpignan et non via Mirepoix puis Carcassonne comme certaines forces ont
tenté de l'y inciter (voir les preuves sur le forum du Prius Touring Club).
Ce jour, cela a commencé par des véhicules silencieux qui en montant le col
ont tous doublé une ombre sans l'apercevoir, puis ce fut l'appuie du
déclencheur de l'appareil de photo que l'équipe Belenos m'avait confié pour
que je les prenne tous en photo devant leur chef-d'œuvre, mais avec 3
secondes de retard le temps de laisser passer un présage, puis ce fut cette
fiche sur un déraillement qui c'est produit en 1881 et que Palm35 m'a remis
pensant que je ne pouvais être que le seul destinataire d'un tel message à
l'encre de chine sur un tramway de 1881 fonctionnant sur accumulateur et qui
était équipé d'un moteur Siemens. Depuis, j'ai beau eut d'observer tous les
clichés pris par Palm35 et par moi même aucune trace sur les SD card de la
force surnaturelle qui a monté ces documents jusqu'à 1915 mètres d'altitude.
Alors, comment prouver qu'il était bien là pour nous indiquer la voie?
Dans retour vers le futur, il a bien cette scène du facteur sous la pluie
qui remet un pli à Marty Mac Fly venant du lointain passé pour parler du
futur et jamais je n'aurais pensé que cette scène allait me tomber dessus
pour de vraie et ce à 1915 mètres d'altitude. Pour dénouer ce nœud
spatio-temporel il va falloir que chacun des acteurs concernés examine la
succession des événements qui se sont passés depuis le 30 mai et lise ce que
je vais progressivement vous dévoiler pour comprendre en quoi ils ont été
impliqué dans ce nœud et là ou cela va les projeter dans le futur. Pour les
autres vous allez découvrir une belle histoire vraie. |
Premiers indices: Rien
que la Photo de la Toujours Contente devant Thémis, qui n'était pas au programme
du parcours Phébus mais qui avait comme objectif de gâcher de l'énergie: la
Toujours Contente étant trop chargée à la sortie du four solaire d'Odeillo pour pouvoir
emprunter directement la descente vers Bourg Madame. Et pourtant je le savais,
et j'ai chargé à
fond à Odeillo. Une connerie car "Batterie pleine =
plus de frein moteur = Danger". Le détour vers Thémis a donc
permis de vider un peu la batterie. Le faire devant Thémis est un symbole, cet
événement non prévu allait faire passer la Toujours Contente du premier rang d'ordre
de passage des concurrents du Phébus au presque dernier rang avec pour
conséquence que cela a failli faire prendre du retard sur l'arrivée du Phébus au
sommet du col. Une force irrésistible m'a fait partir en premier du point
d'arrêt de regroupement de Porté les Puymorens en annonçant que la Toujours
Contente allait gravir le Puymorens à 45 km/h vitesse constante. Laurent K m'a
d'ailleurs affirmé qu'il valait mieux que je passe devant dans ce cas car aucun Sunracer ne pouvait suivre ce rythme. L'histoire a montré que si, tellement
Belenos est extraordinaire. Bref la Toujours Contente en 12 minutes s'est
retrouvée en haut en ayant mangé 25% de sa batterie mais en passant devant le
présage sans le voir aussi. (me culpa à moi aussi)
2ème indice: La carte à l'encre de
chine
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Le 31 mai un improbable vieil homme quitte Poitiers pour aller prendre le chemin de fer seul avec une petite besace et sa canne en bois en direction de Lyon. Il doit d'abord aller vérifier une histoire de mécanique sur des voitures anciennes dans un très grand musée
mais trop privé à la gloire du passé prestigieux du transport de marchandise par la route. Il est bien pourtant passé une ultime fois au cyber café au coin de sa rue
en ce petit matin pour juste vérifier, si ce rendez-vous avec les extrasolaires est toujours planifié
ce dimanche 3 juin à 16H30 à ce plus de 1900 mètres d'altitude dans les Pyrénées.
Mon dieu que c'est loin. Dans sa tête, toujours le même message, cette année
peut-être, souhaitons enfin qu'ils existent. Aussi, Il a bien pris avec lui son précieux petit carnet de notes
scientifiques et son vieux stylo à bille bleu qui a fréquenté tant de
bibliothèques d'illustres chercheurs tel Jean-Albert Grégoire et son
extraordinaire tome 2 sur la voiture électrique désormais introuvable, et qui
lui ont permis de noter toutes ces références et ces faits marquants de tout
ceux qui ont tenté de faire avancer les automobiles avec des électrons. Le
premier c'est bien Raffard ce dit-il. Il a pris aussi son petit guide avec les horaires des chemins de fer français,
il est bien dans sa poche droite de sa pelisse, et enfin il a aussi son chapeau
beige. Ah, reste le plus important, dans sa besace il a placé les précieux cahiers à prédictions, qu'il doit venir comparer sur place. Ah si cette année ses prédictions pouvaient enfin être réalisées... En secours, il a aussi demandé les horaires de la RENFE comme cela, il pourrait en cas de changement de toutes dernières minutes tenter d'observer le phénomène de l'autre coté de la frontière. A ce même moment
DoubleHybride se rend compte qu'il a oublié le chargeur d'accus de son appareil de photo provoquant par contre coup d'effet
d'énervement spatio-temporelle une deuxième erreur dans le sud-est en induisant
l'oubli d'un autre boîtier chargeur qui reste aussi à la maison orphelin de sa
machine à communiquer. Cette dernière liaison reste toutefois encore encours
d'analyse, compte tenu de son coté très ténue de cette diagonale
spatio-temporelle à peine naissante. Cette fois les dés sont joués, les pions sont
bien placés et une implacable mécanique céleste c'est mis en marche. Palm35 est
en route avec sa Prius il a franchi la ligne virtuelle reliant Poitier à Lyon
sans se douter qu'il vient de recevoir une mission "porter un message"...
Une affaire à suivre prochainement
3ème indice: L'auteur
d'un article du Picton aurait rêvé qu'il soit tiré sur une imprimerie solaire
Publié dans la Nature le 26/08/1882 Page 195 !
Pendant que notre vieil homme débarque
à Lyon pour son enquête personnelle sur un hypothétique engin roulant non encore
identifié, il se rappelle d'une de ses anciennes publications ou il a découvert
qu'il n'y a rien de nouveau sur terre, sa revue au nom d'un arbre ne pouvait
même plus être tirée par l'énergie solaire comme il était pourtant possible de
le faire il y a un siècle après la lumineuse démonstration publique d'Abel Pifre
le 6 août 1882. Je vous joins ici une des pièces uniques tirées sur cette
machine comme souvenir. Mais diable comment ai-je pu rentrer en possession d'un
tel document oublié et qui par la magie du net va d'un coup être propulsé dans
l'espace intergalactique du temps sur des milliers de disques durs d'ordinateur
pour que ce fait ne soit plus jamais oublié: En 1882 l'énergie solaire était déjà utilisée! Ce samedi au même instant des véhicules solaires
accompagnés de Prius dont certains pilotes font tout pour économiser l'énergie
jusqu'à en couper leur téléphone portable font route vers la France via le
massif cristal parc de Cadi Moixero précisément à 1882 mètres d'altitude, elles
ont maintenant en face la vue directe sur le massif du Puymorens en s'apprêtant
à descendre sur Puigcerda, lui est encore a plus de 550 km du point d'impact et
il est en train de visiter un musée pour obtenir des réponses à ses questions
comme sur la CAMELEC TYPE B. Il le sait ce soir il prendra le train de nuit, son
hôtel pour la nuit pour rejoindre Vierzon pour rejoindre enfin la ligne du
train jaune électrique commençant à Villefranche de Conflent et sa ligne mythique.
4ème indice: Nous voilà donc le jour
J.
Commençons par ce qui c'est passé au
début de cette journée cosmique,
Après
avoir vainement cherché le sommeil et son changement à Vierzon, il passa une
partie du temps à compléter soigneusement plusieurs fiches sur des véhicules
futuristes du passé grâce aux précieux renseignements techniques
qu'il a pu recueillir lors de sa visite du musée caché et secret de la campagne
Lyonnaise.
Il finit par s'assoupir pour une nuit quelque peu
chaotique
pleine
de visions (Pifre, Grégoire, Guerbet, toit solaire volé,
C5 de
Saint Clair, l'oiseau de Solelhada) se terminant chaque fois par une
certaine excitation d'un vieil homme solitaire qui sait
qu'aujourd'hui il va peut-être pouvoir vérifier l'exactitude de ses prédictions.
Il débarque à la gare de Latour de Carol à 7H51 si j'ose dire en pleine forme
pour une épreuve redoutable: Il lui reste 17 kilomètres à parcourir et surtout
une montée qui va le faire passer de 1200 à 1915 mètres d'altitude. Après 1,5 km
de marche il s'arrête, car il a enfin trouvé un petit bar restaurant sur le bord
de la N20, car il n'y avait rien d'ouvert au buffet de la gare qui se dit
internationale. Au même moment, des véhicules bizarres se glissent en France à
travers un ancien chemin de contrebande pas encore goudronné. C'est un petit
groupe d'extrasolaires auquel on a tendu une Perche pour les conduire vers la
Mecque des capteurs solaires "le four solaire d'Odeillo" et ses expériences
mythiques des années 70 sur l'art de transformer l'énergie gratuite du soleil en
fée électricité. Notre vieil homme après une petite collation, c'est remis à
marcher avec sa petite canne en bois vers le 2ème objectif de son voyage
intérieur. Les véhicules quant à eux font le plein d'électrons "le trop plein
même" soit au soleil photovoltaïque soit grâce au réseau commun EDF de la vallée
d'Odeillo bien équipée en microcentrales solaires afin de préparer l'assaut vers
leur but: arriver en haut du Puymorens. Plus tard, une interférence cosmique
passe par le Charlemagne de Viking pour faire disjoncter l'alimentation
électrique d'une partie du four solaire d'Odeillo. Les compétiteurs du Phébus se
précipitent alors sur les fameux sandwichs et les crèmes Mont Blanc "déjà une
tradition" le temps que les disjoncteurs retrouvent leur esprit. Cette N20 est
longue mais voilà enfin Porté les Puymorens, il prend sur la droite la petite
route du col beaucoup plus calme et beaucoup plus existante, Il lui faut
maintenant soutenir la cadence pour atteindre avant 16H30 le sommet du col de
Puymorens et tenter de délivrer son message, ses petits cahiers qui ne peuvent
être placés que dans de bonne-main car il n'a pas la possibilité de les
distribuer et les imprimer massivement, aussi en distribuer quelques-uns lors de
cette arrivée mythique lui semble donc très rationnel.
La 106 mobil' Eco en avance sur le planning a atteint le col
la première, seul moyen pour la repérer par notre personnage son silence en
pleine montée.
15H43, La Toujours Contente s'élance à l'assaut du col,
probablement aux alentours des 15H52 je dépasse mon futur ami dans son ascension
sans que je ne le remarque. 15H54 je gare La Toujours Contente au sommet du col.
Il y a déjà longtemps que la 106 électrique est rangée sur son plateau.
Belenos alerte dans cette montée finale a dû le dépasser
moins de 10 minutes plus tard et le rassurer la présence effective de véhicules
solaires sur cette route bien calme, puis ce fut le passage d'Heliodet, du Twike
Socelec qui passât comme une fusée suivi du Roller System, du Vectrix, du Tandem
Bionix, du Scootelect.
A 16H30, il arrive enfin au sommet du col et se glisse parmi
les concurrents, il se presse pour observer le Twike pour prendre des notes
faire des croquis pour mieux se souvenir. Il m'a raconté plus tard qu'il avait
été impressionné par le passage du Twike qui représente à ses yeux le rêve du
véhicule qu'il avait secrètement imaginé il y a une vingtaine d'années, un
véhicule urbain léger à pédales biplace pour se mouvoir en ville. Puis il
se rappela aussi sa mission, distribuer quelques petits papiers ça et là pour
attirer l'attention en particulier avec la carte du tramway qui déraille
volontairement sur l'action d'un volant. Palm35 reçoit une carte qui me la
transmet, je demande à Palm35 mais d'ou il sort cette carte "bouteille à la
mer", il m'indique alors la direction du vieux monsieur, je me précipite.
"Bonjour je crois que vous avez plein de chose à m'appendre",
et ce fut le début d'une conversation d'une densité incroyable ou les mots
technologiques vont s'égrener à la vitesse d'un télescripteur tant il y a de
chose à dire, cela fessait tant de temps qu'il attendait cet instant. Je
découvre alors avec stupéfaction qu'il a monté à pied le col à l'issue d'un
incroyable voyage pour distribuer ses petits guides "Les cahiers du CEDRE" sa
vison du véhicule propre qu'il avait placé dans son petit sac à dos et aussi
dans l'espoir de découvrir que le véhicule de ses rêves existe enfin: Le
Twike !
Le temps tourne, devant rentrer sur Perpignan ce soir, je
propose alors à notre Journaliste de l'histoire technologique que l'on le
raccompagnâtes à bord du véhicule futuriste de son choix: nous avons ici une
Prius qui part en direction de Toulouse, une Prius qui part en Direction de Nice
et la Toujours Contente qui part vers Perpignan. "Cela me ferait vraiment plaisir
d'essayer le véhicule électrique". Notre personnage surprise, notre seul
visiteur et combien énigmatique présage à venir assister à l'arrivée du Phébus
2007 va pouvoir ainsi idéalement suivre son véhicule électrique "idéal" le Twike
"Socelect" durant notre descente du col et notre route vers Latour
Carol. Il va aussi me raconter en route sa vison du véhicule électrique
pendant qu'il remplit fébrilement son petit carnet sur toutes les informations
techniques sur la Toujours Contente, impressionné par sa faible consommation en
Wh au Km et son silence. Arrivé à la gare, Il me laisse un exemplaire de chacun
de ses cahiers en échange d'une carte de la Toujours Contente ainsi qu'une
invitation pour la rencontre historique entre la Toujours Contente et la Jamais
Contente le 8 et 9 septembre 2007 à Créhange. Je le dépose à la Gare de Latour
Carol, ou il compte prendre un train pour Toulouse pour rejoindre Poitiers.
Alors
mais qui est donc ce mystérieux personnage, Il m'a fallu un peu de patience
pour le découvrir à mon retour sur Lyon en lisant ses Cahiers du CEDRE et puis
en l'appelant au téléphone.
Michel "maintenant retraité" a été le journaliste rédacteur
des Cahiers du Cèdre dont le premier numéro est sorti dans les années 80. Je
comprends mieux maintenant sa culture technologique et historique sur le
véhicule propre.
Chaque cahier traite de façon très scientifique mais aussi
ludique d'un thème, par exemple le N°19 sorti au printemps 2001 a traité de la
locomotion électrique et solaire
en
l'AN 2000. Avec l'autorisation de Michel voici une des planches de ce cahier qui
traite du véhicule solaire. C'est un ami qui lui avait relaté l'arrivé du Phébus
2000 le 12 juin 2000 à la cité de l'espace à Toulouse et qui a été la source
d'inspiration de
cette planche.
Alors vous n'y tenez-plus, vous souhaitez vous aussi un
contact du 3ème type alors écrivez "par voie postale" à cette adresse:
Les Cahiers du Cèdre, Michel Houiller, 13 rue Ernest Pérochon
86000 Poitiers.
Les Cahiers du Cèdre N° 1 à 26 sont épuisés, les deux
derniers numéros sortis sont encore disponibles à la vente:
-
Le N°27 traite du char à voile "en particulier dans le
contexte du rassemblement du Touquet", du char à huile au char à jambes...
-
Le N°28 traite du sujet du moteur à eau, du moteur à Ester de
colza
Chaque numéro est vendu 5 euros, il vous suffit de lui faire
parvenir un chèque dans votre courrier avec votre adresse. Michel ne dispose pas
de l'Internet.
-
1980 Cahier N°1 - Sur les voitures électriques
-
1983 Cahier N°2 - Sur les voitures électriques
-
1985 Cahier N°3 - Le centenaire de la voiture électrique
(Jean Taud, Kreiger, Porche, Bugatti, Arzens, Schaudel, Grégoire)
-
1985 Cahier N°4 - Environnement - La circulation en ville
-
1985 Cahier N°5 - Véhicules solaires - Raid Zinder - Dakar
(par Bernard le Pivain)
-
1985 Cahier N°6 - Véhicules solaires - le Tour de Sol 85
(1ère course)
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1987 Cahier N°7 - Sur les voitures électriques
-
1988 Cahier N°8 - Véhicules solaires - (reportage de
Patrick Negro)
-
1989 Cahier N°9 - Energie - Véhicules solaires - Grand Prix
du soleil 1987
-
1990 Cahier N°10 - Le Lithium et l'énergie (ce cahier est
en cours de mise à jour)
-
1991 Cahier N°11 - Poésie électriques - René Legros
-
1991 Cahier N°13 - Environnement - Les clés de la voiture
propre
-
1992 Cahier N°15 - Energie - L'intelligence et l'énergie
-
1998 Cahier N°16 - Energie - La problématique du nucléaire
-
1999 Cahier N°18 - Energie - Les piles à combustible
-
2000 Cahier N°19 - Circulation urbaine - L'an 2000
-
2002 Cahier N°20 - Véhicules solaires - l'an 2001 NUNA
Darwin - Adelaïde en 4 jours
-
2003 Cahier N°21 - Matériaux - Technologie - un robot
Solaire sur mars
-
2004 Cahier N°23 - La voitures Electriques en 2004
-
2006 Cahier N°26 - Energie - Le cycle Stirling Expliqué
-
2007 Cahier N°27 - Véhicules propres - Chars à voiles, à
huile, à jambes
EPILOGUE PROVISOIRE:
Après avoir quitté Michel à la gare de Latour Carol, je pars pour de nouvelles
aventures avec Macyan pour aller lui faire découvrir les bains de Dorres.
Sur ces panneaux avec un peu d'imagination on peut en faire
une lecture ésotérique: on y voit un panneau THEMIS "du temps de sa célébrité de
centrale électrique solaire", mais aussi très curieusement "Les Angles" le point
de recharge planifié pour demain de La Toujours Contente entre Perpignan et Lyon, une bien
étrange coïncidence... on y lit aussi DORRES là ou nous nous rendons pour une
sorte de route Buissonnière ou Madame peut s'y doorer...
A cet étrange carrefour, On laisse la Toujours Contente au
pied de la montagne pour préserver une arrivée sur Perpignan ce soir et c'est en
Prius que nous partons à la découverte des bains thermaux.
Il eut été indécent d'y passer avant de monter au col de
Puymorens comme en 2006.
Imaginez, vous vous seriez prélassé dans une eau à 39°C
jaillissant naturellement des volcans pyrénéens dans des baignoires de roche et
son étrange bassin en plein air durant qu'un vieil homme grimpait péniblement à
pied le col de Puymorens pour un improbable rendez-vous dont il ignorait tous
les détails, aussi pour éviter de liquider cette rencontre du 3ème type le grand-livre de l'univers à donc repousser naturellement la visite des bains de Dorres
après la fin du Phébus 2007 !
Je ne me doutais pas lors de cette vison idyllique d'une chaleur
gratuite et naturelle que la journée était très loin de se refermer...
Aussi, mieux vaut de rêver sur cette image d'un lieu sympa où des décisions
secrètes et vitales ont été prîtes
Un grand Merci à NOVOTEL:
NOVOTEL PERPIGNAN a permis la recharge de la Toujours Contente à l'aller comme au Retour avec une tarification
alléchante obtenue grâce à une réservation "early bird" sur Internet très performante.
NOVOTEL GERONA, la charge pour participer à la 1ère étape du
Phébus
A Midi j'atteins mes amis Aux Angles batterie à 0% ! il était
temps d'arriver, la recharge fut donc plus longue, juste le temps de compter une
première fois la belle aventure du Phébus 2007.
La Toujours Contente est rentrée tardivement sur Lyon le 4
juin après 2 heures de recharge au groupe électrogène sur l'air de Donzère, puis très gros orages - Pluie colossale -
Visibilité nulle - Elle s'en est sortie indemne!
CONCLUSIONS:
Soyez observateur et attentif à
votre entourage, il s'y passe des choses extraordinaires et ne prenez que le bon
coté des choses. Participer au Phébus était déjà un véritable don du ciel
pour ceux qui ont su sentir ses bonnes vibrations pour oser cette aventure
humaine et technologique, optimiste et décalée.
Pour ma part, jamais je n'aurais osé
traverser la France par le train et y dormir pour venir à pied rejoindre le
sommet d'un col ou doit probablement arriver un rallye de véhicules solaires
afin de venir y prêcher la bonne parole et constater les progrès de la
technologie. Cela aurait été surhumain pour moi, bref une véritable leçon de vie
montrée par Michel.
Il
y a eut beaucoup de coïncidences sur ce rallye que je ne peux pas tout vous
conter ici, à mon retour sur Lyon je rencontre une bonne amie à qui je raconte
ce qui m'est arrivé, elle me dit "c'est tout à fait normal" As-tu lu la
Prophétie des Andes? Ma fois non! lit le bouquin et tu comprendras. Je viens de
recevoir le petit bouquin (5,7 Euros au format poche) et il faut dire que moi
étant plutôt de culture cartésienne et scientifique je suis extrêmement troublé
pas ce bouquin. Depuis que je l'ai lu, il m'arrive encore plus d' histoires de
coïncidences invraisemblables comme à d'autres personnes, en faite le monde est
entrain de changer. L'essai de James Redfield est
disponible en ligne sur ce lien, je vous le conseille vivement mais peut
être l'avez vous déjà lu car il s'est déjà vendu à 12 millions d'exemplaires
dans le monde.
La prochaine aventure sera la rencontre "Toujours Contente"
"Jamais Contente" début septembre à Créange, puis se sera la 2ème
traversée des Alpes en VE en septembre 2007 et enfin je pars en quête de
solutions de sponsoring pour participer au formidable projet de "La Green Verte" "Paris
- Pékin 14.000 km en voiture Electrique dont un col à plus de 3900 mètres d'altitude "
et à mon tour d'y faire passer un message.
Grandes lignes techniques pour la Toujours Contente: 4,8 l aux 100
km en moyenne sur
les 1444 km de l'aventure Phébus 2007 (y compris les approches) et 148 kWh consommés en électricité.
Epreuves Phébus 2007 à 100% électricité sur 251 Km 41
kWh, une petite partie de l'électricité n'ayant pas put être fourni par le
secteur public faute de puissance installée pour une quinzaine de VE et autres
VAE, il a été nécessaire de le produire en partie avec un petit groupe
électrogène (2 litres d'essence consommés pour la Toujours Contente). Pour la
partie Phébus la consommation au km a été de 163 Wh au kilomètre avec un point
de départ à une altitude de 130 m et une arrivée 1900 m avec le passage de très
nombreux cols. Une fois déduit les 1700m de gradient pour élever 1800 kg de 1700
m il reste 129 Wh au kilomètre. L'énergie gravitationnelle disponible au sommet de Puymorens
ayant permis un retour sur Perpignan avec une très faible consommation.
Retour aux aventures quotidiennes de
mai et juin 2007 c'est ici
Appel:
Je cherche des sponsors qui souhaiteraient communiquer
gagnant gagnant autour de l'écologie pour partager la médiatisation des sorties
de La Toujours Contente durant l'année 2007 et 2008 et défendre l'idée que les Véhicules
plug-in comme
une des solutions opérationnelles pour préserver la planète.
Au programme d'ici la fin 2007:
Rencontre insolite de VE célèbres à Créhange,
2ème traversée des Alpes en VE, ...
En projet pour 2010:
La Green Cruise "Paris
Pékin" 14.000 km en voiture électrique une aventure écologique qui devrait
marquer les esprits pour les 100 prochaines années.
Une aventure à l'initiative
de l'association Mobil' Eco.
Contact
email pour exposer votre projet et prise de contact
Merci d'avance
La phase II du test hybride est ouverte avec le
le
test de la PRIUS II
, il y a donc deux véhicules hybrides avec deux
approches différentes qui vont faire la compétition écologique. Sur les
mêmes parcours, les consommations et les coûts sont comparés à la loupe. Et vous
saurez tout pour faire le choix du véhicule le plus adapté à vos besoins pour
faire des économies et de l'écologie.